Inverser la tendance !

Aïravata est né pour inverser la tendance d’une détérioration irréversible des écosystèmes du Nord-Est du Cambodge, afin de préserver à toute petite échelle, une échelle à taille humaine, les derniers éléphants d’une région et la forêt qui les a vus naître.

Aux temps jadis, chaque tribu de Ratanakiri possédait ses propres éléphants, mais avec le temps la province a commencé à perdre un par un ses pachydermes. Un patrimoine exceptionnel était en train de disparaître, les éléphants mais aussi le savoir accumulé depuis des temps immémoriaux par les familles de cornacs.

Nous sommes donc heureux et fiers de vous présenter les derniers éléphants de la province dans leur environnement naturel, la forêt protégée de Katieng.

Projet de conservation

Projet de conservation à la fois culturel, écologique et social, AÏRAVATA permet une véritable interaction avec les éléphants et vous apprend à les connaître, à en prendre soin ainsi qu’à les cornaquer vous-mêmes.

Tout comme le dieu Indra montait Aïravata l’éléphant mythique à trois têtes, vous pourrez à votre tour chevaucher la belle Ikeo, son « petit » ami le gigantesque Bokva ou encore Kamsen, l’intellectuel facétieux et… accéder de la sorte au Nirvana !

Votre visite à notre école permet de contribuer à protéger tout un monde voué autrement à une disparition imminente !

Ecologie et culture

Un projet de conservation écologique et culturel.
L’idée fondamentale d’Aïravata est de procurer aux éléphants le cadre de vie qui leur convient. Un éléphant est un animal qui a besoin d’espace, de compagnie et d’une nourriture variée.

L’éléphant ne supporte pas d’être confiné trop longtemps, il a besoin d’exercice mais aussi d’une grande variété de plantes et de racines pour subvenir à tous ses besoins nutritifs. La forêt pourvoit à tout cela et les éléphants sont parfaitement capables de reconnaitre les plantes nécessaires à la prévention des carences ou des maladies qui selon leur âge ou leur état de santé peuvent les affecter.

La disparition des éléphants à Ratanakiri entraînerait aussi celle d’un métier cinq fois millénaire : celui de cornac. Depuis des temps immémoriaux, ce savoir-faire se transmet de génération en génération, et sa disparition serait un dommage culturel que nous n’étions pas prêts à voir survenir.

C’est donc sur ce double refus que s’est créé Aïravata, le refus de voir disparaître un animal emblématique d’une région et celui de voir s’éteindre une tradition parmi les plus anciennes au Cambodge.

Pas d’éléphants « heureux » sans forêt !

Hors de son milieu naturel, l’éléphant développe fréquemment des troubles qui sont autant physiques que psychiques, c’est pourquoi, en nous intéressant à leur bien être nous avons naturellement dû nous pencher sur la préservation de leur écosystème.

En contrebas de la forêt claire où nous évoluons avec les éléphants se trouve une belle forêt futaie d’environ 250 hectares qui, du fait de l’accès difficile et du terrain accidenté, a été largement épargnée par la déforestation.

En accord avec les trois villages qui en sont propriétaires nous avons obtenu de pouvoir y développer l’éco-tourisme sous diverses formes, les villageois s’engageant à ne pas couper d’arbres tout en continuant à jouir des différentes ressources naturelles de la forêt : herbes médicinales, petit bois, chasse des petits animaux…

Nos objectifs

 PROCURER UN CADRE DE VIE ADAPTÉ

L’idée fondamentale d’Aïravata est de procurer aux éléphants le cadre de vie qui leur convient. Un éléphant est un animal qui a besoin d’espace, de compagnie et d’une nourriture variée.
L’éléphant ne supporte pas d’être confiné trop longtemps, il a besoin d’exercice mais aussi d’une grande variété de plantes et de racines pour subvenir à tous ses besoins nutritifs. La forêt pourvoit à tout cela et les éléphants sont parfaitement capables de reconnaitre les plantes nécessaires à la prévention des carences ou des maladies qui selon leur âge ou leur état de santé peuvent les affecter.

PRÉSERVER TOUT UN MONDE VOUÉ À UNE DISPARITION IMMINENTE

La disparition des éléphants à Ratanakiri entraînerait aussi celle d’un métier cinq fois millénaire : celui de cornac. Depuis des temps immémoriaux, ce savoir-faire se transmet de génération en génération, et sa disparition serait un dommage culturel que nous n’étions pas prêts à voir survenir. 
C’est donc sur ce double refus que s’est créé Aïravata, le refus de voir disparaître un animal emblématique d’une région et celui de voir s’éteindre une tradition parmi les plus anciennes au Cambodge.

DÉVELOPPER UN CENTRE D’ÉCOTOURISME

En contrebas de la forêt claire où nous évoluons avec les éléphants se trouve une belle forêt futaie d’environ 250 hectares qui, du fait de l’accès difficile et du terrain accidenté, a été largement épargnée de la déforestation. En accord avec les trois villages qui en sont propriétaires nous avons obtenu de pouvoir y développer l’éco-tourisme sous diverses formes, les villageois s’engageant à ne pas couper d’arbres tout en continuant à jouir des différentes ressources naturelles de la forêt : herbes médicinales, petit bois, chasse des petits animaux…